La transparence nous tient à cœur : Ce Système de mesure partagé a été conçu à partir d’une vision du monde allochtone et on reconnaît que les modes de savoirs autochtones en sont absents. Pour de plus amples renseignements sur ce positionnement, veuillez consulter notre page sur les Relations équitables.
Présentation
Dans ce pays émaillé de lacs et de rivières, l’identité canadienne est en partie définie par la jouissance de la ressource hydrique. Il est donc important de savoir si nos eaux sont sûres pour un usage récréatif. Bien qu’il existe des recommandations nationales sur la qualité des eaux utilisées à des fins récréatives, celles-ci n’ont pas force exécutoire. Cela signifie notamment que la surveillance se fait de manière fort différente d’une province à l’autre, ce qui pose problème pour l’agrégation des données.
D’après le Canada Beach Report, l’ensemble des treize provinces et territoires surveillent de près ou de loin la qualité des eaux, mais seuls six ont une forme quelconque de lignes directrices sur le sujet (la Saskatchewan et le Nouveau-Brunswick travaillent encore sur les leurs).
L’existence de programmes ou de lignes directrices sur la surveillance de la qualité des eaux récréatives ne signifie pas forcément que le public est tenu adéquatement informé des constats de cette surveillance. Parmi les treize provinces et territoires, seul le Manitoba dispose d’un système complet pour communiquer ses constats au public; la Colombie-Britannique, l’Alberta, l’Ontario, le Québec, Terre-Neuve et la Nouvelle-Écosse produisent eux aussi des renseignements, mais l’information est disparate à l’échelle de leur territoire.
Dernière mise à jour : Juin 2017